La Banque des Territoires investit pour la e-sant
Des choix capitaux en matière de e-santé
En matière d’investissements dans la e-santé, la Banque des Territoires concentre son action sur des entreprises proposant des services numériques et des usages liés à la santé, à la lutte contre les déserts médicaux, à la prévention et aux repérage des fragilités, à la dépendance, au médico-social.
« Nous agissons toujours en investisseur minoritaire et avisé, pour des prises de participation d’au moins 500 000 euros, précise Marion Eymar. Plusieurs critères déterminent notre décision d’entrer au capital d’une entreprise. Celle-ci doit agir prioritairement sur le territoire français, disposer notamment de clients et générer un chiffre d’affaires significatif ».
L’entreprise peut se trouver dans une phase de première ou deuxième levée de fonds. Une fois entrée au capital, la Banque des Territoires agit en investisseur minoritaire actif, participant ainsi à la gouvernance des sociétés.
« Nous analysons plusieurs dizaines de dossiers par an, sourcés aussi bien par nos correspondants internes spécialisés dans les filières du numérique au sein des directions régionales de la Banque des Territoires, que par nos réseaux de partenaires (co-investisseurs publics ou privés, sociétés de capital-risque, industriels, leveurs de fonds…) », détaille la responsable du pôle e-santé, médico-social et vieillissement.
De ces investissements en e-santé sont cependant exclues les prises de participation dans des entreprises de biotechnologie, de dispositifs médicaux implantables, ou encore dans des sociétés dont les offres seraient uniquement fondées sur de la recherche ou du « hardware ».
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